27 Juin 2016
Fausto Coppi s’y est illustré dans le Tour de France de 1952. En 1964, Raymond Poulidor y a devancé Jacques Anquetil de 42 secondes. En 2016, 29 randonneurs St-Cômois ont inscrit à leur palmarès la mythique ascension du Puy de Dôme (1465 mètres) ; de plus, une montée réalisée dans des conditions climatiques « bouchées ».
Brouillard et crachin étaient au rendez-vous !
Groupe 1 - Depuis le parking du col des Goules, la troupe effectue la montée au Puy de Pariou. En contournant le Grand Suchet le groupe retrouve la zone des pâturages du Traversin et le circuit du groupe 2.
Il n'y avait pas que les arbres qui étaient dans le brouillard et la tourmente, les marcheurs du groupe 1 s'y trouvaient aussi ...
Groupe 2 : Le chemin des Gouris et celui des Gravouses ont conduit les randonneurs au Traversin (zone de pâturages) avant d’attaquer l’ascension du Puy de Dôme par le chemin des Chèvres. Vêtements de pluie de rigueur ! Ascension avec le sérieux espoir que le brouillard se déchire du panorama permettant d’observer Clermont-Ferrand et la chaîne des Puys.
Quand les gallo-romains bâtissaient au sommet du Puy-de-Dôme le temple de Mercure, dieu du commerce et de la médecine et aussi, pour nous, protecteur des voyageurs. Un bel espace lui est maintenant réservé.
Pique-nique bien mérité, à l’abri, aux places réservées par les « plus rapides » à avoir atteint le sommet !
Retour par le chemin des Muletiers alors que le paysage s'ouvre permettant d'apercevoir le panorama.
A l'arrivée, une petite halte à la Maison du Site (point de départ du train électrique à crémaillère) : vitrine de toutes les richesses du Puy-de-Dôme, magnifique expo-photo d’animaux sauvages de la région et quelques croquis des carnets de voyages en trains de Pierre Croux et bien sûr et toujours … des boutiques.
Et dans la tête … ce que nous avons rêvé de voir !
Et pour clôturer cette deuxième journée ... les photos d'Annick.